« Neuvième thèse. La finitude de toute chose se subsume à l’infinitude des interactions de toute chose avec toute chose : le matérialisme conçoit le réel comme l’infinitude de sa finitude, comme la contingence des prolongations de la matière, par la matière, dans la matière. »
« Neuvième thèse. La finitude de toute chose se subsume à l’infinitude des interactions de toute chose avec toute chose : le matérialisme conçoit le réel comme l’infinitude de sa finitude, comme la contingence des prolongations de la matière, par la matière, dans la matière. »
« Neuvième thèse. La finitude de toute chose se subsume à l’infinitude des interactions de toute chose avec toute chose : le matérialisme conçoit le réel comme l’infinitude de sa finitude, comme la contingence des prolongations de la matière, par la matière, dans la matière. »
« Neuvième thèse. La finitude de toute chose se subsume à l’infinitude des interactions de toute chose avec toute chose : le matérialisme conçoit le réel comme l’infinitude de sa finitude, comme la contingence des prolongations de la matière, par la matière, dans la matière. »